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Dernière mise à jour :
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L'arrivée de la nouvelle chef du PQ, Pauline Marois,
a-t-elle vraiment changé quelque chose à la dérive de ce parti. C'est loin
d'être si évident, quoique que peuvent en dire ceux qui appuient encore le
PQ ... et qui espèrent toujours que les choses vont finir par changer.
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Vaches sacrées et
subventions à l'entreprise privée
Aussi
bien les libéraux, l'ADQ, et même le
PQ, affirment tous qu'il faut avoir le
courage de s'attaquer aux "vaches sacrée" du
modèle québécois. Le professeur Léo-Paul
Lauzon se dit aussi "d'accord" avec eux ...
mais, lui, ne parle pas des mêmes vaches sacrées.
En lisant sa plus récente chronique dans le
journal Métro de Montréal, vous apprendrez
que l'État québécois subventionne plus
l'entreprise privée que n'importe où ailleurs au
Canada, y compris en Ontario. De quoi susciter
bien des discussions. À lire. C'est toujours
aussi savoureux au niveau du style. Lien ajouté
le 4 septembre 2009.
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Le PQ : "Il y a belle
lurette que les choses ne sont plus ce que bien
d'autres espéraient ..."
"En
écoutant Pauline Marois présenter son plan
de « gouvernance souverainiste », tous se rendront
compte que le Parti Québécois est devenu, au fil
des ans, beaucoup plus autonomiste-adéquiste que
souverainiste. Plusieurs indépendantistes sincères
se sentiront ainsi trahis par la formation fondée
par René Lévesque. Ils auront tort. Il y a déjà
belle lurette que la réalité est telle au PQ ; la
trahison a eu lieu quelque part au cours du règne
de Lucien 1er et non pas en 2009 comme les
derniers événements semblent le faire croire."
Ainsi commençait un
texte signait en mai dernier, Patrick Bourgeois,
du RRQ, et qui se voulait une réaction au
tout dernier plan déposé par la chef Pauline
Marois, en matière de stratégie pour le PQ, face à
son fameux article No 1, et qui a de plus en plus
l'air de l'article No 999. Un texte qui
garde toujours sa pertinence aujourd'hui. À lire
(si ce n'est pas déjà fait) en cliquant ici.
Lien ajouté le 5 août 2009.
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Léo-Paul Lauzon dénonce la propension des libéraux,
autant que du PQ ainsi que de l'ADQ, à toujours plier devant le monde des
affaires
Cliquez ici pour consulter un commentaire du prof
Lauzon publié sur le site de l'aut'journal. Lien ajouté le
28 mai 2009.
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Plus cela change et plus c'est pareil ?...
Plus le temps passe et plus les contradictions semblent s'accumuler et
finissent aussi par donner une impression (mais est-ce seulement une
impression ?...) de déjà vu, du côté du PQ.
Pendant que le PQ continue officiellement à exiger la tenue d'une d'une
commission parlementaire de manière à fouiller beaucoup plus tout le dossier
du fiasco à la Caisse de dépôt et de placement du Québec, pendant que deux
députés du PQ exigent maintenant que l'ex-PDG de la Caisse, Henri-Paul
Rousseau, rembourse maintenant son indemnité de départ (ce qu'Amir
Khadir réclamait déjà bien avant eux), voilà que deux anciens leaders
du PQ, l'un d'eux étant Lucien Bouchard, vont exactement dans l'autre sens et sont même allés jusqu'à
féliciter cet ex-PDG pour avoir donner des explications jugées ... très
claires et satisfaisantes !!! Ajouté le 11 mars 2009.
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Pierre Karl Péladeau : un "proud Canadian " ?
Plusieurs ténors du PQ continuent encore à
collaborer au journal scab, ce qui représente en soi toute une
contradiction, surtout quand on sait ce que fait Péladeau
L'un
des enjeux fondamentaux qui opposent Quebecor à ses 253 employés
cadenassés dépasse largement les cadres habituels d'un conflit de
travail. Cela touche aussi à l'identité québécoise du Journal de
Montréal, une dimension que tente cependant de cacher Quebecor
Media. Contrairement à ce qu'a pu prétendre, à un moment donné,
l'ex premier ministre Bernard Landry, il ne s'agit pas juste d'efforts
déployés par Quebecor, à partir de Toronto ou du reste Canada anglais,
pour maintenir la production du journal pendant le lockout. Bien
avant que le conflit de travail n'éclate, Quebecor avait déjà commencé à
transférer une partie de la salle de rédaction à l'extérieur du Québec,
notamment durant la précédente campagne électorale fédérale.
Tout cela pose en même temps une question de plus : comment se fait-il,
dans de telles conditions, que plusieurs ténors du PQ continuent
toujours à oeuvrer comme collaborateurs à ce journal ? Pour des
gens qui se disent souverainistes, n'est-ce pas là toute une
contradiction ? Cliquez ici pour lire une dépêche issue du site
Internet de ruefrontenac.com et qui lève le voile sur ces
agissements de la part de Quebecor. Lien ajouté le 5 mars 2009.
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Une injustice de plus ...
Pourquoi
le salaire minimum au Québec devrait-il être inférieur
à celui de l'Ontario ? Comment peut-on dire alors que ce qui est
bon pour l'Ontario ne le serait pas pour le Québec ? La question
est d'autant plus pertinente que le salaire minimum en Ontario
augmentera encore, d'ici quelques semaines, pour atteindre 9,50$
l'heure, alors que les plans du gouvernement Charest ne prévoit
qu'une hausse à 9.00 l'heure, le 1er mai prochain. Pourtant, si
vous vous rendez sur le site du PQ (www.pq.org) et que vous
faites une recherche pour trouvez ce que propose le PQ au niveau du
salaire minimum, vous ne trouverez RIEN car la question du
salaire minimum ne fait pas partie des engagements électoraux de ce
parti !!! ... Ajouté le 4 mars 2009.
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Deux approches différentes qui découlent de
priorités également différentes
Le
tout dernier Conseil national du PQ, tenu cette fin de semaine,
vient de mettre en relief, une fois de plus, les différences majeures
pouvant exister entre ce parti et Québec solidaire. Ces deux
partis sont souverainistes, mais pour le reste, le discours est très
différent. Pendant que Québec solidaire met en effet la priorité, dans
son plan de relance économique, sur la défense du monde ordinaire, ainsi
que sur la réappropriation de notre économie pour s'assurer que celle-ci
suive une orientation qui aille dans le sens du bien commun, au PQ,
c'est une autre histoire. Ajouté le 22 février 2009.
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Réapproprions-nous notre eau, notre
énergie et nos forêts !
Tel
est le titre d'un texte qui est signé par le président et
le secrétaire du SPQ Libre, Marc Laviolette
et Pierre Dubuc, et qui vient d'être mis en ligne
sur le site Internet de l'aut'journal
à propos de la nécessité de la nécessité de se tenir
debout face au chantage des grandes compagnies.
Cela, disent-ils, implique d'aller jusqu'à nationaliser
les actifs de ces compagnies si nécessaire, ce qui
correspond également à ce que dit depuis un bon bout de
temps le PCQ. Reste à voir si le
PQ,
auquel le SPQ libre est associé, voudra ultimement
reprendre à son compte un tel discours. C'est
douteux. Surtout quand on voit l'orientation
que semble prendre ce parti et si on se rappelle aussi
l'attitude de la direction du PQ dans le dossier de
l'éolien, un autre sujet autour duquel le SPQ libre avait
d'ailleurs réussi à convaincre, à un moment donné,
à un moment donné, une majorité de membres du Conseil
national du PQ, sans que cela change cependant quoique se
soit au finish. Ce nouveau texte du SPQ libre
mérite, une fois cela dit, qu'on s'y intéresse.
Lien ajouté le 22
février 2009.
Autres hyperliens à consulter :
r
Quand le
Fond de solidarité de la FTQ se met
de la partie;
ce dernier reprend en effet
le contrôle d'une partie des actifs de l'Abitibi
Bowater.
r
Cliquez ici pour accéder à
notre dossier à propos de la
fermeture de l'Abitibi Bowater
à Donnacona .
-
Sauf que
Bernard Landry a-t-il vraiment
compris quelque chose ?...
Questionné
sur le plateau de Tout le monde en parle, alors
qu'il était justement l'un des invités, lors de l'émission
du 8 février, l'ex-premier ministre péquiste, Bernard
Landry, avait ceci à dire en parlant de Pierre Karl
Péladeau : c'est une personne "cultivée".
Parlant de la direction du Journal de Montréal,
Bernard Landry devait également souligner combien il
appréciait le fait que ce journal était capable
d'embaucher des souverainistes comme Lise Payette
ou Joseph Facal et comment il ne fallait pas non
plus oublier que les employéEs de ce journal sont très
bien payés.
Moi, si j'avais aussi été sur le plateau, j'aurai voulu
savoir de la bouche de Bernard Landry si le fait de briser
les lois, comme le fait Pierre Karl Péladeau, était aussi
le signe d'un être cultivé et intelligent. Et tant
qu'à y être, je lui aurait également demandé, en guise de
sous question, si la politique consistant à ramener en
arrière socialement les gens, tel que le fait encore une
fois Pierre Karl Péladeau, était aussi sa propre vision à
lui pour aller vers un monde plus "juste" et plus
"progressiste" ... Cliquez ici pour lire la suite de ce
commentaire du porte parole du PCQ, André Parizeau.
Ajouté le 9 février 2009.
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Bernard Landry avait initialement
dit qu'il ne voyait aucun problème à continuer à
collaborer au Journal de Montréal; il faut croire que les
pressions ont dû avoir une influence car il vient juste de
changer d'idée et n'écrira plus pour
ce journal tant que durera le conflit de travail.
Remis à jour le 1er fév. 2009.
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Du côté du PQ, plusieurs
incongruités demeurent; pendant que
le PQ affirme qu'il ne donnera plus d'entrevue au
Journal de Montréal, pour la durée du conflit, suivant
en ce sens l'exemple donné par Québec solidaire, Joseph Facal, qui s'adonne
à être un des principaux conseillers de la chef du
PQ, Pauline Marois, affirme de son côté
qu'il continuera à collaborer avec ce journal.
Cliquez ici pour obtenir les
derniers développements au niveau de ceux qui continuent toujours à
collaborer au journal scab et ceux qui ont décidé
d'être solidaires avec les lockoutéEs.
Dossier remis à jour le 1er fév. 2009.
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