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Depuis leur expulsion du PCQ, en avril 2005, un certain nombre d’anciens membres de notre parti ont décidé de s’autoproclamer comme étant les « seuls » et « vrais » communistes au Québec et ont conséquemment créé un 2e PCQ, n’hésitant pas à usurper carrément notre nom.

Bien malgré nous, nous continuons donc à être associé à un petit groupe d’abord et avant tout marqué par le gauchisme, le sectarisme et le dogmatisme et, avec qui, au moment de leur expulsion, nous espérions bien ne plus rien à voir avec.  Dans un tel contexte, nous tenons très clairement à nous dissocier de tout ce qu’ils peuvent dire ou faire car nous n’avons plus aucun rapport avec ces gens.

Quand, à notre demande, le Directeur général des élections du Québec (DGEQ) nous accorda à nouveau, au début de 2006 (puisque nous avions en effet ce statut jusqu’en 2003), notre autorisation comme parti politique légalement reconnu, ces « purs et durs » auraient pu jeter la serviette.  Mais non !  À leurs yeux, le DGEQ avait tout simplement erré en cédant devant un groupe de « renégats » puisque c’était eux et personne d’autres qui représentait le « vrai » PCQ.

L’affaire frisait le ridicule …. Mais qu’importait pour eux.  Eux qui auraient été bien embêtés de remplir toutes les conditions fixées par la loi pour être un parti légalement autorisé, étaient néanmoins les seuls « détenteurs de la vérité » et il fallait continuer à propager cette « vérité » et à combattre tous les « révisionnistes » (nous) et tous les opportunistes de tout acabit.

Ces gens agissent comme une secte, parce qu’ils sont de fait une secte.  C’est bien triste.

Au sein du PCQ, nous avions l’habitude d’appeler ce groupe « La Bande des quatre ».  Ce surnom provient du fait que leurs leaders sont au nombre de quatre et représentaient jusqu'en 2005, au moment de leur expulsion, un exemple patent de gauchisme et de sectarisme poussé à l’extrême.  Ces quatre personnes étaient Pierre Fontaine, Bill Sloan, Anibal Laner ,et Sylvain Archambault, et leurs prises de position ne sont pas sans rappeler celles d’un autre groupe très gauchiste: le PCR.

Encore aujourd’hui, ces gens, qui se surnomment comme étant le « vrai » PCQ, possèdent un journal, appelé « Clarté » (qui n'est cependant plus publié depuis un certain temps), se mobilisent à l’occasion de certaines manifestations et publient également un site Internet dont l’adresse électronique demeure très proche de la notre; c’est fait exprès.

Un autre de leurs membres, jusqu'il soit lui-même expulsé par ce groupe, s'appelait Antonio Artuso;il s'était lui-même illustré en intentant devant la Cour des petites créances deux poursuites judiciaires contre le chef du PCQ, André Parizeau, pour un montant total de 10 000$, tout cela sur la base d'arguments totalement farfelus.  Ces poursuites furent par la suite abandonnées à la dernière minute, car il n'y avait dans les faits par de réelles matière à poursuivre.  Cet individu oeuvre maintenant au sein d'un groupe encore plus petit, et isolé, appelé "Northern Compass" et dont le but est de faire la promotion de la défunte URSS.

Ne possédant que bien peu de crédibilité au sein de la gauche québécoise, tous ces gens, à L'exception de ce Artuso, ont fini par s’accrocher au Parti communiste du Canada (PCC), parce que c’est tout ce qu’il leur restait.  Cela adonne bien puisqu’ils sont en même temps contre le projet de souveraineté pour le Québec et que le PCC est également contre ce projet.  Parce qu’ils sont donc aussi associés au PCC (ce que nous ne sommes plus, toujours de puis 2005), ils signent souvent leurs textes PCQ-PCC.

Le fait que le PCC ait pour sa part accepté de maintenir en son sein pareils individus et qu’il les présente également comme étant « les seuls représentants » du PCQ n’a évidemment rien pour faciliter une éventuelle réconciliation entre nos deux partis.  Là encore, cela est bien dommage.

L’insistance de ce petit groupe à utiliser notre nom est bien sûr une atteinte à nos propres droits.  De par leurs actions gauchistes et sectaires, ces gens font aussi un tort important à la cause du socialisme en contribuant à en dénaturer le sens profond.

Heureusement pour nous et pour l’ensemble de la gauche québécoise, ce petit groupe demeure très peu influent; même si certains d'entre eux peuvent avoir une certaine crédibilité comme individus, ils parlent rarement de leur propre affiliation politique. Quand ils signent des textes, c'est généralement sous un nom d'emprunt, ce qui en dit aussi assez long sur leurs méthodes d'action politique.

Pour aider nos nouveaux membres et amiEs à mieux comprendre certains des fondements derrière ce petit groupe et le fait que le gauchisme et le sectarisme puisse encore exister aujourd’hui, nous reproduisons ci-joint de larges extraits du rapport politique présenté par le chef du PCQ, André Parizeau, lors du congrès du PCQ, en avril 2005, au cours duquel ces gens furent finalement expulsé du PCQ.  Incidemment, ce rapport s’intitulait alors : « Mettre fin au gauchisme et au sectarisme pour être en meilleure position de remplir nos responsabilités »

 

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(Ndlr : Extrait du rapport politique présenté par André Parizeau, chef du PCQ, lors du congrès d’avril 2005 du PCQ)
 
Une maladie infantile … très dangereuse

Dans l’état actuel de développement du PCQ, alors que nous sommes encore une très petite organisation dont l’influence et les ramifications demeurent limitées, le danger principal demeure très clairement le gauchisme et le sectarisme.

Lorsque nous serons un parti beaucoup plus influent, avec une base de masses, les choses seront sans doute différentes et l’opportunisme de droite représentera alors un danger plus important.  Mais nous sommes encore loin de faire face à une telle situation.  Il est plutôt ironique de voir des gens comme la « Bande des Quatre » mettre en garde tout le monde face au danger de l’opportunisme de droite alors même où ces mêmes personnes multiplient les gestes de gauchisme et de sectarisme.

La « Bande des Quatre », qui a cherché à usurper la direction du PCQ et qui, pendant des années, a tout fait pour nous freiner et/ou nous faire dévier des objectifs que nous nous étions fixés lors de notre XIVe congrès, est un exemple probant de ce que peut représenter ce danger.

Pendant toutes ces dernières années, ces gens ne cherchaient pas à recruter des progressistes et, surtout, des ouvriers et des ouvrières.  Ils n’avaient pas confiance dans les travailleurs et les travailleuses.  Ils n’avaient pas confiance dans les jeunes.  Ils étaient convaincus d’être les seuls à détenir la vérité.  Les autres étaient soient des opportunistes ou des révisionnistes, des anarchistes ou encore de méchants trotskistes.  Ils n’ont pas hésité à étiqueter à plus d’une reprise le programme et les membres du Parti comme étant dominés par l’opportunisme et le révisionnisme, quand cela n’était pas le trotskisme.  Les épithètes pouvaient de temps en temps changer, au gré des besoins; cela dit, il y avait une constante : ils étaient presque tout le temps contre chaque mesure, chaque geste visant à briser l’isolement et la marginalité au sein desquels était depuis déjà trop longtemps confiné le PCQ.

Lorsque confrontée à des situations nouvelles exigeant une certaine ouverture d’esprit, de manière à trouver des solutions adéquates à des situations parfois délicates et compliquées, la « Bande des Quatre » avait plutôt tendance à baisser les bras.  Pourquoi ?  Parce que les gauchistes sont non seulement sectaires mais aussi, et le plus souvent, très dogmatiques.  Ils ont donc de la misère à faire preuve d’analyse.  Faire l’analyse concrète de la situation concrète n’était pas dans leur corde.  Quand la situation débordait du cadre d’analyse étroit de leur vision dogmatique, ou si la situation ne cadrait plus avec leurs formules toutes faites, alors ils ne savaient plus quoi faire.  Les attitudes dogmatiques faisaient alors place à un suivisme parfois grossier.  Et puis, le dogmatisme reprenait assez rapidement le dessus.  Il ne pouvait être question de laisser voir trop longtemps leur faiblesse véritable (…)

Une menace au Parti

Un constat s’impose plus que jamais : ces gens représentent une menace au Parti et c’est pourquoi certaines mesures furent finalement prises.  Nous n’avions pas le choix.  Qui plus est, plus cela va et plus il devient évident que d’autres mesures seront nécessaires vis-à-vis de ces gens, vu leur entêtement à créer toujours plus de problèmes au sein du PCQ.

D’ores et déjà, nous savons qu’ils ont formé une fraction, dès la fin de l’été 2004, pour prendre le contrôle de la direction du PCQ.  Nous avons des témoignages qui le confirment.

Nous savons aujourd’hui que le report du Comité national d’octobre dernier (2004) fut concocté par cette fraction.  Nous avons également des preuves écrites comme quoi au moins l’un d’entre eux aurait été prêt à aller assez loin pour gagner leur point ; cela allait jusqu’à proférer par écrit (nous avons une copie de cet écrit) des menaces de sévices physiques.

Encore récemment, y compris à Toronto, à l’occasion d’une réunion du Comité central du Parti communiste du Canada, ils n’hésitaient pas non plus à dire qu’un bon nombre de membres du PCQ ne devraient pas être dans le Parti ; ils multiplient, comme lors du Comité national des 19 et 20 février, les méthodes d’intimidation et les menaces, en particulier contre les femmes et les jeunes.  Tout cela doit cesser !

Toujours antagoniser

Le plus souvent, face aux autres membres, au sein du Parti, les gauchistes ont tendance à antagoniser.  Les plus récents événements survenus dans le PCQ, depuis le début de 2005, le démontrent amplement.  Ces gens n’ont finalement que peu de respect pour les autres.

Le fait que le Parti reste petit ne les dérange pas.  En fait, cela fait plutôt leurs affaires parce qu’ils peuvent ainsi plus facilement chercher à prendre le contrôle des choses.  Ou tout au moins, ils peuvent plus facilement essayer de le faire.  À mesure que le Parti grandit, cela devient en même temps plus difficile pour eux de conserver une influence.

Parce qu’ils n’ont pas confiance dans les masses, les gauchistes n’ont pas non plus le réflexe d’aller vers elles, encore moins de consulter celles-ci.  Pour eux, cela serait s’abaisser.  Aussi ne faut-il pas s’étonner que la « Bande des Quatre » ne recrute pas.  Comment l’auraient-ils pu ?  La plupart n’ont que peu de lien avec les masses et leur réputation partout où ils pouvaient aller, est plutôt faible.  Pour ne pas dire plus (…).

Citer à tort et à travers Lénine ne fait pas de nous de vrais communistes

Pour les gauchistes, qui aiment citer à tort et à travers Lénine et Marx, ou mieux encore Mao tsétoung, le Parti communiste doit être un parti d’avant-garde.  À leurs yeux, cela veut dire que le Parti communiste doit être au-dessus de la classe ouvrière.  Ils ont une vision très élitiste de la politique et, en ce sens, ils se rapprochent beaucoup dans leur conception de la politique de la manière dont les politiciens bourgeois voient également les choses.  Ils agissent d’abord et avant en fonction de leur propre intérêts.

En fait, ils agissent exactement à l’opposé de ce qui devrait guider notre action, en tant que parti d’avant-garde : soit le fait d’être au service des ouvriers et des ouvrières.  Être à l’avant-garde, c’est d’abord et avant tout avoir en tête de servir les intérêts de la classe ouvrière au meilleur de notre connaissance.  C’est être au service du peuple.

Les gauchistes ont rarement percé dans le mouvement ouvrier pour la simple et bonne raison que les ouvriers et les ouvrières ont généralement une assez grande aversion pour ce genre de personnes.

En contrepartie, les gauchistes sont généralement incapables de développer des tactiques et des analystes adéquates de la situation.  Alors, ils ont plutôt tendance à s’aliéner tout le monde, y compris ceux et celles qui avaient pu à un moment ou un autre surmonter leurs appréhensions face à ce genre d’individus.  Ce faisant, ils contribuent malheureusement à faire un tort énorme au mouvement communiste dans la mesure où les gens s’imaginent ensuite que tous les communistes sont comme eux (…).

Ne jamais oublier qui est notre ennemi principal

Les gauchistes oublient le plus souvent qui est l’ennemi principal et ont plutôt tendance à tirer sur tout ce qui bouge, ainsi que contre ceux et celles qui n’agissent pas exactement comme ils l’auraient voulu.  Le concept voulant que l’éducation politique soit un processus continu et dialectique, associant tout à la fois la nécessité de faire l’unité tout en menant une lutte contre les idées erronées, est étranger aux gauchistes.  Ils peuvent bien se gargariser de formules toutes faites, telle le leitmotiv « unité-critique-unité », ils ne savent pas vraiment ce que cela veut dire.

Dans les faits, leur vision de l’éducation politique peut se limiter ainsi : critiquer, critiquer, critiquerS’isoler, s’isoler, s’isoler (…).

Un double discours

Les gauchistes, comme « la Bande des Quatre », tiennent souvent un double discours.  À l’interne, ils sont toujours les plus radicaux.  Ils critiquent tout le monde.  À l’extérieur des rangs du Parti, c’est une autre histoire.  Ils sont alors beaucoup plus modérés dans leurs propos quand ils ne sont pas carrément silencieux, allant même jusqu’à cacher leurs idées.  Les gauchistes sont également souvent paresseux.

Le discours des gauchistes n’est pas forcément et à chaque fois erroné en soi.  Le problème est ailleurs.  Quand ils disent quelque chose, c’est rarement au bon moment.  C’est souvent trop tôt ou trop tard et presque tout le temps déphasé ou déconnecté par rapport à la réalité du moment. 

Tout cela découle en autres de leur incapacité à analyser les choses et du fait qu’ils soient isolés des masses et ne veulent pas vraiment se mettre à leur écoute, chacun de ces défauts contribuant en même temps à se renforcer l’un l’autre.

Les gauchistes et les alliances

Les gauchistes sont prêts à appuyer le concept d’alliances.  Le plus souvent, cet appui se limite cependant à répéter des déclarations de principes.  Mais rarement, ils mettent véritablement la main à la pâte pour la simple et bonne raison qu’ils n’y croient pas vraiment.  Ils n’ont pas confiance dans la capacité du Parti communiste de grandir de manière à devenir ultimement un parti de masses.  De toute manière, ils n’en voudraient parce que cela signifierait la mort de leur propre influence, comme cela a déjà été mentionné.

Ils ne croient pas non plus à la capacité des gens, en dehors du Parti communiste (on pourrait dire de tout le monde à l’exception bien sûr d’eux-mêmes) de rester à gauche.  Pour eux, tout le monde deviendra forcément corrompus un jour.  Si un mouvement comme l’UFP, Option citoyenne, ou encore la fusion des deux, est pour continuer à se développer alors, forcément, ces mouvements vont virer à droite.  En d’autres, c’est foutu d’avance et il n’est pas vraiment utile d’investir trop d’énergie dans de tels mouvements (…).

À l’origine du problème

L’origine du gauchisme découle avant tout du fait que nos liens avec les masses demeurent relativement faibles.  Se lier à elles, être à leur écoute n’est pas toujours facile.  Le Parti est petit.  Les tâches lourdes et les ressources ne sont pas toujours disponibles et, de toute manière, plutôt limitées.  Lutter pour changer un tel état de fait demande alors un effort; cela exige également de travailler plus collectivement, mais aussi de faire des choix, y compris des choix qui peuvent être déchirants.  Cela exige finalement de composer avec les autres et d’accepter de faire aussi des compromis.

À l’opposé, se replier sur soi et se rabattre sur une approche plus sectaire et gauchiste peut avoir deux avantages.  D’une part, cela est plus facile; cela demande moins d'efforts.  En même temps, et en deuxième lieu, cela permet aussi de développer toute une rhétorique pour justifier son incompétence ou son refus de vraiment chercher à jouer un rôle d’avant-garde, c’est-à-dire (et on ne le répétera jamais assez) se lier aux masses pour mieux les servir (…).

Les gauchistes et la question de la démocratie

Les membres de la « Bande des Quatre », ainsi que leurs supporters, montent facilement aux barricades quand on ose s’en prendre à eux.  Ils deviennent alors les plus fervent défenseurs de la démocratie et du respect de toutes les règles démocratiques.

Mais leur opinion face à la démocratie et à l’importance de la lutte pour le renforcement de la démocratie dans la société est très ambiguë, pour ne pas dire plus.  Dès que l’on sort en effet du cadre des luttes internes, dans le PCQ, le combat pour renforcer sur la scène politique la démocratie prend soudainement une tangente dangereuse parce que cela nous amène inévitablement à cohabiter avec des forces bourgeoises plus libérales.  Cela revient alors une forme de compromission difficilement acceptable.  D’où leurs réticences à mener de tels combats.

On notera au passage que cette réticence s’applique y compris sur le terrain de la question nationale.  Ce faisant, en faisant ainsi une telle coupure entre les questions de démocratie et notre objectif du socialisme, ils contribuent objectivement à isoler la lutte pour le socialisme des luttes courantes et en faire un objet complètement abstrait et inatteignable aux yeux de la plupart des gens.

Depuis quelques mois, la « Bande des Quatre » se proclame à qui le veut comme étant les plus grands défenseurs du programme du Parti communiste.  Ils ont cependant un grave problème parce que leurs points de vue par rapport à l’importance de la lutte pour le renforcement de la démocratie vont directement à l’encontre de ce que dit notre propre programme politique sur cette même question.

Mener des luttes sur le front de la démocratie nous éloigne de la lutte pour le socialisme, disent-ils, alors que le programme de notre Parti dit plutôt le contraire.  C’est un terrain de lutte particulièrement fertile et profitable pour faire avancer le combat vers le socialisme.

Gratter un peu dans le discours de ces gauchistes et vous verrez qu’ils opposent de fait les concepts de démocratie et de socialisme.  L’un serait un concept bourgeois tandis que l’autre serait prolétarien.  Ils répètent à qui le veut que le socialisme est par essence la dictature du prolétariat, une formule qu’ils disent préférer à toute autre (…)  Mais, ils se gardent bien de souligner du même coup, comme Lénine l’avait jadis fait au début de la révolution soviétique, que le socialisme se doit de marquer une extension de la démocratie dans la mesure où elle doit représenter la victoire de la démocratie pour l’énorme masse de la population, c’est à dire les ouvriers.  D’où l’idée de la dictature du prolétariat.  Mais ce n’est pas le genre de citation qui cadre tellement avec le discours de nos gauchistes.  Ils préfèrent utiliser des termes qui font encore très peur; sans doute, pensent-ils ainsi démontrer à quel point ils sont des « purs et durs ».  Qu’ils soient en même temps tout seuls dans leur coin, isolés, ne les dérangent pas (…)