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Victoire historique
Le « oui » à la nouvelle
Constitution est arrivé largement en tête dimanche. Cela
renforce en même temps le camp de ceux et de celles qui
appuient le président Evo Morales. Ajouté le 28 janvier
2009.
À propos
du rôle joué par les ÉU en Bolivie;
extrait du site des Jeunes communistes du PCQ .
Ajouté le 19 septembre 2008.
Le Venezuela se met de
la partie et menace, de son côté, de couper
les fournitures de pétrole aux EU si ceux-ci
continuent à s'ingérer dans les affaires de la
Bolivie
C'est
maintenant au président du Venezuela
d'intervenir. Celui-ci a demandé à son tour à
l'ambassadeur américain à Caracas de partir.
Question de démontrer sa solidarité avec le
gouvernement bolivien. Il a aussi menacé les
États-Unis de leur couper leurs fournitures de
pétrole s'ils continuaient à s'ingérer dans
les affaires de la Bolivie. Ajouté le 12
septembre 2008.
Evo Morales : "US go
home !"
Le
président bolivien Evo Morales a demandé
mercredi à l’ambassadeur des États-Unis,
Philip Goldberg, de quitter le pays en
l’accusant d’encourager des manifestations
contre son gouvernement. "L’ambassadeur
des États-Unis conspire contre la démocratie
et veut l’éclatement de la Bolivie", a
affirmé Morales dans un discours prononcé au
palais présidentiel de La Paz. Ajouté le 11
septembre 2008.
Les forces de gauche
consolident leur position en Bolivie,
suite au référendum
Avec
63% d'appuis obtenus, hier, lors d'un
référendum qui se tenait à travers le pays,
les forces de gauche se retrouvent encore plus
forts qu'auparavant en Bolivie. Ce
chiffre de 63% représente une nette
progression par rapport au niveau d'appui
qu'avait obtenu précédemment Evo Morales,
le président de la Bolivie, lors de son
élection. La prochaine étape pourrait
bien être la tenue d'un autre référendum,
prévu une fois que l'Assemblée constituante,
formée pour revoir dans son ensemble
l'actuelle constitution du pays, aura fini son
travail et soumis ses recommandations.
Cliquez ici pour
lire une analyse faite par nos camarades
français du journal L'Humanité, juste
avant la journée du scrutin et portant sur
l'état de la situation en Bolivie.
Ajoutée le 10 août 2008, puis ajusté le
11 août pour tenir compte des résultats du
référendum.
Autre hyperlien à consulter :
"La bataille en Bolivie
fait partie d’une bataille plus grande",
le secrétaire général du Parti communiste
bolivien.
"Il faut
beaucoup plus encourager la production
agricole locale et revoir notre vision des
choses"
Tel
est ce qu'a affirmé le président de la
Bolivie, Evo Morales, en marge du
nouvel échec des négociations à l'OMC qui
vient de se produire à Genève, en Suisse.
"Après sept ans, le cycle de Doha est ancré
dans le passé et dépassé par des phénomènes
plus importants que nous vivons aujourd’hui :
la crise alimentaire, la crise énergétique, le
changement climatique et l’élimination de la
diversité culturelle. On fait croire au monde
que l’on a besoin d’un accord pour résoudre un
agenda mondial et cet accord ne représente pas
cette réalité. Ses bases ne sont pas adéquates
pour faire face à ce nouvel agenda mondial".
Ajouté le 30 juillet 2008.
Le pouvoir populaire
en
Bolivie
: quand les exclus reprennent leur place dans l'arène politique
La Bolivie a bien changé depuis 2005 avec
l'élection d'un président indien et socialiste, Evo Morales. Les
espoirs des millions d'exclus sont grands, et le Movimiento al
Socialismo (MAS) au pouvoir entend prendre les moyens nécessaires
pour les satisfaire.
Ajouté le 7 sept. 2007.
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